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Le blog d'Ilaude-Studio...

26 mars 2024

Plein de nouveaux tee-shirt sur Spreadshirt !!!

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18 septembre 2022

The end of the summer...

 

Fabrice Landais on Instagram: "End of the summer... #jaws #sexy #glamour #illustration #beach #pencildrawing #sea #humour #summer #sushi #water #ilaudestudio"

Fabrice Landais shared a post on Instagram: "End of the summer... #jaws #sexy #glamour #illustration #beach #pencildrawing #sea #humour #summer #sushi #water #ilaudestudio". Follow their account to see 243 posts.

https://www.instagram.com

 

23 août 2022

RED SONJA ...

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23 août 2022

FAN-ART : CAVEWOMAN

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23 août 2022

Fan-arts STREET FIGHTER ...

POISON 

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CHUN LI

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12 mars 2022

Landscapes...

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3 novembre 2021

La maison du lac.

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1 septembre 2021

Sculptures de visages, échelle 1/6...

Premier essai à la Sculpey. Echelle 1/6. Tête d'environ 4 cm.


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Deuxième essai : Negan.


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Troisième essai : Clint


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30 mai 2021

[ECRITS] - Unité 32 ...

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I

 

- Liz, mon compteur s'affole!
Liz lacha le tiroir qu'elle avait entrepris de fouiller et s'élança vers la fenêtre de l'immeuble en ruines. Quatre étages plus bas, les rues nappées de brume étaient désertes. Les ombres fantomatiques des carcasses de véhicules abandonnés gisaient là, dans la lumière déclinante de fin d'après-midi, comme de multiples ossatures de monstres terrifiants. Les tours effondrées du centre ville cachaient l'horizon flamboyant. De çi, de là, quelques arbres fossilisés cherchaient malgré tout à exister encore. La végétation existante se déclinait en de multiples touffes grises parmi le béton omniprésent. Liz plissa les yeux. Son regard était attiré par un mouvement dans une rue parallèle plongée dans l'ombre. Elle se figea. De multiples formes vaguement humanoïdes sortaient du brouillard, d'abord par dizaines, puis par centaines.
- Merde, 'Faut se bouger! Les décharnés sont là! On monte dans les étages!

- Monter? Mais c'est le meilleur moyen de se faire pièger!, répondit Numéro 27, blême.

Liz s'approcha de Numéro 27 et le saisit par le col :

- Tu veux vraiment qu'on y passe? On n'est pas dans un de ces putains de films de zombies à la con, là! Un décharné est bien plus rapide que toi ou moi. Le temps pour nous d'arriver à la sortie et ils seront déjà là. Donc, on monte rapidement au plus haut point de cette foutue tour, et en silence! T'as compris?

Numéro 27 fit un signe approbateur de la tête. Liz relacha son étreinte et se dirigea vers la cage d'escalier. Après un rapide regard au rez-de-chaussée, elle commença à gravir les marches encombrées de débris en tous genres. Chaque étage était un peu plus délabré que le précédent. Les graffitis nombreux témoignaient de récentes visites de squatteurs et de pillards. Les murs fissurés ruisselaient des récentes pluies acides qui se jouaient des câbles électriques à nu. Parfois, le sol spongieux et recouvert de mousse laissait place à un trou béant qui s'enfonçait dans les profondeurs de l'immeuble. Liz et son acolyte posaient le pied au onzième étage quand, soudain, un fracas étourdissant se fit entendre. Le bruit d'une porte qu'on enfonce...

- Ils sont en dessous!, dit Liz avant de mettre son index devant sa bouche pour ordonner le silence. De nouveau, elle jeta un regard en contrebas de la cage d'escalier. Une ombre passa furtivement au rez-de-chaussée. Une main grise tortueuse, boursouflée de cloques, avec de longs ongles sales se posa sur la rampe de l'escalier. Liz poussa avec elle Numéro 27 dans un appartement de l'étage, ferma doucement la porte, et se recula jusqu'au mur opposé où elle s'accroupit. Elle pointa son fusil de chasse à canons juxtaposés vers l'entrée et attendit, les yeux rivés sur la porte...

Le soleil déclinait, laissant place à une nuit sans lune. L'appartement était lugubre. Le papier peint décollé laissait place aux champignons qui grignotaient jour après jour le plâtre des murs. Les rideaux déchirés ondulaient doucement, portés par une brise qui pénétrait par les vitres brisées. Le silence allié à la pénombre et le froid rendait l'attente insupportable. Numéro 27 était accroupi derrière un lit crasseux où reposait un squelette de son dernier et éternel sommeil. Il fixait Liz. Comment un p'tit bout de femme était-elle devenue la guerrière d'aujourd'hui? Avec sa coupe de cheveux à l’iroquoise, ses yeux noir de jais et son perfecto rapiècé, elle paraissait ne pas avoir plus de 30 ans. Quelle était son histoire avant... avant çà? Avait-elle eu une enfance heureuse avant la fin de tout ce que l'on connaissait? Où étaient ses proches lors du Jour Dernier? Comment avait-elle rejoint la communauté actuelle? Les questions se bousculaient à la vitesse d'un cheval au galop. Numéro 27 fût tiré de ses pensées par l'insistance du regard que lui portait Liz.
- Bordel, tu dors ou quoi?, chuchota-t-elle avant de continuer : "J'vais pas me répèter quarante fois : Cà donne quoi, ton compteur?"

Numéro 27 se rendit alors compte qu'ils étaient là, silencieux, immobiles, depuis presque trois heures. Il regarda son compteur Geiger. L'aiguille ne dépassait plus les 0,2 microsievert/h. "C'est bon! Je crois qu'ils sont partis!"

- On jette un coup d'oeil rapide à l'étage, histoire de ne pas rentrer à vide et on rentre!, lança Liz en ajustant les sangles de son sac à dos.

 

 

II

 

Un nouveau jour commençait. Les flaques d'eau croupie reflétaient les premiers rayons du soleil. Le dôme éventré de la bibliothèque était visible maintenant. Les nombreux livres abandonnés aux quatre vents dans les rues désertes attestaient de son antique existence. Mais aujourd'hui, la survie comptait plus que la culture, et le papier était redevenu un combustible. Les étagères de bois vermoulu avait cèdé sous le poids des livres humides, et le chaos reignait partout là où, il y a des années, la vie cherchait à laisser une trace de son existence.

Liz et Numéro 27 approchaient silencieusement de l'entrée. De temps à autres, ils effectuaient une boucle, évitant ainsi les pièges multiples qui la protégeait. Sur la droite des deux acolytes, un cratère encore fumant d'un mêtre de diamêtre témoignait d'une récente incursion non autorisée. La mine avait fait son office au point de ne laisser aucune trace de l'imprudent, un rat sans doute. Liz posa sa main sur la poignée de la lourde porte d'acier travaillée tout en scrutant les environs pour s'assurer de ne pas être suivie. La porte grinça quand elle s'ouvrit. Dans le grand hall, le dôme perforé créait un puits de lumière diffuse d'où l'eau des dernières pluies tombait au goutte à goutte sur un carrelage de marbre usé. Quelques plantes grimpantes prenaient racines dans les monticules de livres qui pourrissaient au sol. Elles s'élevaient de quelques mêtres en direction de la lumière formant une voûte végétale. Et partout des squelettes jonchaient le sol.

Les pas de Liz et Numéro 27 résonnaient dans tout l'édifice alors qu'ils traversaient la réception pour se diriger vers un escalier menant au sous-sol. Liz ouvrit une nouvelle porte. Puis un long corridor sombre et humide aboutit sur une vaste salle vide à l'exception d'une porte blindée monumentale. Soudain, la lumière jaillit, aveuglante, crue.

- Putain, Jeff, coupe-moi c'te saloperie de projecteur!, lança Liz en direction de la porte.

Une petite trappe s'ouvrit dans la porte, laissant apercevoir une paire d'yeux bleu-gris fatigués: "Salut Liz! Moi aussi j'suis content de te revoir! Alors, qu'est-ce que tu nous ramènes de beau cette fois?"

- Quelques antiseptiques, une dizaine de cartouches de 22, et quelques barres énergétiques... autant dire rien! On a croisé une horde qui a contrecarré nos projets! Bon, tu nous ouvres maintenant?

Le projecteur s'éteignit laissant place à une série de veilleuses rouges encadrant la porte.Un cliquetis se fit entendre. Puis les verrins se mirent en marche, soulevant lentement la porte. Derrière celle-ci se tenait le vieux Jeff, une AK en bandouillière, carressant sa longue barbe blanche. "T'es attendue chez le boss! Quant à lui, il retourne avec les autres!", dit-il en lançant un regard dédaigneux à Numéro 27.

Bientôt, Liz et Numéro 27 arrivèrent dans une salle gigantesque qui fourmillaient de vie, éclairée par de multiples guirlandes qui s'entrecroisaient en tous sens. Au centre de celle-ci, des stands de fortune dédiés au troc étalaient leurs lots d'objets hétéroclytes. Les marchands s'égosillaient à en vanter les mérites tout en se plaçant en héros dans l'histoire qui leurs avait permis de se les procurer: Tantôt, celui-ci avait défié une bande de pillards seul pour subtiliser quelques piles, déchargées qui plus est; celle-là avait vu son compteur monter à 10 pour récupérer une canette de soda dans une épicerie à la périphérie de la ville. A chaque extremité du marché, des cuisiniers improvisés faisaient cuire des pièces de viande indéterminée dans d'anciens fûts de pétrole. L'odeur imprégnait toute la salle et les grandes bouches de ventilation du mur nord encore en fonction ne les chassait plus depuis longtemps.

- C'est ici qu'on se sépare, je crois!, dit Numéro 27 en faisant un signe de la main à Liz. Elle le regarda partir entre les stands. Elle remarqua le geste déplacé du vendeur d'armes à l'encontre de Numéro 27. Ce dernier baissa la tête et continua son chemin sous les rires gras du marchand, et disparut dans la foule.

Liz se dirigea vers un vieil escalier attaqué par la rouille et entreprit de descendre dans les entrailles du complexe via un réseau labyrinthique de tunnels éclairés par la lumière crue des néons. De ci, de là, des alcôves bétonnées, tantôt drapées de haillons, tantôt cloturées par de vieilles palettes, laissaient entrevoir les hamacs et les réchauds des familles qui s’y étaient installées. La vie continuait, tant bien que mal pour les survivants. Les accords sur des guitares désaccordées se mêlaient aux bruits de casseroles ou aux quintes de toux. Les relents de cuisine s’alliait à l’odeur de salpêtre ou à celle de cigarette… Une vie confinée, mais une vie tout de même.

- Salut Liz ! Alors, c’te sortie ?
Sans attendre de réponse, le garde en armes déverrouillait la lourde grille menant au commandement qui s’ouvrit dans un grincement trahissant son âge. Liz entra dans l’enceinte, passa devant le dépôt qui abritait les réserves de l’abri, puis l’armurerie et l’hopital de fortune avant d’ouvrir une dernière porte.
- On m’a dit que tu m’attendais ? Me voilà ! Qu’est-ce que tu veux Cap’taine ?
Derrière un bureau en chêne massif, le vieil homme regarda Liz,
impassible.

- J’vais pas tourner autour du pot, t’as jamais aimé çà ! Si t’es là, c’est que la situation est tendue ! L’unité 32 a cessé d’émettre cette nuit !
-
L’unité 32 était en reconnaissance en dehors de la ville non ? Combien ils étaient ?
- Oui,
on perd sa trace près du delta d’Hadès ! Et ils étaient 9 soldats recrutés parmi les meilleurs ! On craint qu’ils soient tombés sur un gros souci ! Les derniers relevés topographiques indiquaient un changement de type 2 là-bas…

- De type 2 ? Bordel, les envoyer faire une reco en milieu instable était une mission suicide ! Qui leurs a donné l’ordre et pourquoi ?
- J’ai donné cet ordre, et le motif n’appartient qu’à moi !
-
Je suis désolée mais j’attends des réponses Cap’ !!!
Liz fixait fermement le vieil homme. Elle crût discerner un sourire en coin furtif avant qu’il ne continue :
- Ecoute, je veux juste que t’emmène une escouade là-bas et que tu nous ramènes l’unité 32 ! Ca te paraît faisable où je refile le bébé à Vostok ? Il me posera moins de question, et moins de problèmes, lui. J’ajoute que, si t’acceptes cette mission, t’as carte blanche sur le choix de ton escouade ! Maintenant, je veux une réponse !
- Mouais, OK ! Ca va, j’accepte ! Mais on reparlera de tout çà à mon retour…
Avant qu’elle ne quitte la pièce, le vieil homme lui lança :
- Et bravo pour ta dernière sortie !
Faire équipe avec un Numéro n’est jamais une partie de plaisir !
Liz claqua la porte en sortant.

 

11 mai 2021

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12 septembre 2020

Mise en pages du futur projet : Les héros (justement) oubliés.

La mise en pages du projet Fantasy sur "les Héros (justement) oubliés", titre non définitif, avance... Je me suis fixé la deadline de Mi-novembre. Au programme, les meilleures illustrations Fantasy de ces dernières années accompagnées de nouvelles humoristiques et corrosives (souvent basées sur des faits de société détournés à la sauce Fantasy).
Plus de news bientôt!

cecran

23 mai 2020

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bigoudenrollweb

1 mai 2020

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P'tit Fanart dans la série #sixfanarts ... Ici, Pélisse, de "la quête de l'oiseau du temps" selon Loisel.

loiselpelisse-web

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